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L'objectif de ce blog est de recueillir l'opinion de femmes sur des livres et des DVD touchant à l'érotisme et à la sexualité !

 

Je suis moi-même une femme de 58 ans et je recherche des avis sur les titres que je suggèrerai régulièrement sur ce site. Mais toutes les propositions de lectures et de films sont les bienvenues!

 

(Les contributions masculines sont autorisées, mais je souhaiterais avant tout que ce soient des femmes qui participent aux discussions !!!)

  

 

J’habite en Suisse Romande et j'apprécierais également de rencontrer des contributrices afin d'avoir des discussions "en vrai" et non pas seulement par l'intermédiaire du blog.

 

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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 21:54

Film de Jang Sun-Woo

 

Fantasmes.jpg

 

 

Dans Fantasmes, de Jang Sun-woo, un homme d’âge mur et une adolescente s’amusent à faire zizi-panpan à poil. Interdite en Corée du Sud pour pornographie, cette jolie autopsie du désir SM filmée par un réalisateur subversif sud-coréen toqué de Nabokov ravive un certain empire des sens. Les matins ne seront plus jamais calmes.

 


A l’origine, Fantasmes est un roman écrit par Jang Jung Il sorti en 1996 qui ne raconte que la passion joviale puis dévastatrice entre un homme et une lolita qui succombent à tout plein de plaisirs que la morale récuse. Sans surprise, il fit couler beaucoup d’encre en Corée (il a été interdit par la censure et l’auteur a écopé de quelques mois de prison pour ses écrits libidineux). Pour enquiquiner le démon puritain coréen, l’enfant terrible du pays Jang Sun-woo, qui a collaboré à l’écriture du roman, a eu la bonne idée d’en faire une adaptation pour le grand écran. Conscient de sa lourde tache, il n’avait pas le droit à l’erreur. Résultat? Une réussite. En France, le film est sorti il y a environ six ans, avec un an de retard. Juste avant la délicieuse Ile de Kim Ki-Duk où le sadomasochisme cérébral et physique s’illustrait sur des bungalows lacustres avec tout plein d’hameçons sanguinolents, de grain dans la tête et de poésie dans la mise en image.

 

 


La date de sortie de Fantasmes dans nos salles fut très importante parce que représentative du climat d’alors. Plus précisément, au moment où le road-movie proféministe Baise-Moi s’attirait les foudres de dame censure et jonglait entre interdictions aux moins de seize, aux moins de dix-huit, à tout le monde. Fantasmes n'est pas en soi un objet rare mais il aurait aisément pu le devenir si la commission de censure made in France n’avait pas été aussi clémente. Il faut dire qu’un passage par la Moestra de Venise a joué dans cette bienveillance (le film reçut un excellent accueil critique). Le problème, c’est qu’à défaut d’être une énième bête de festival, il s’agit véritablement d’un film subversif qui réchauffe les sens et fait du bien partout dans le corps et la tête. Dans Fantasmes, deux individus d’âges très différents (ô scandale) passent leur temps à faire des expérimentations sexuelles où la jouissance et la souffrance s’étranglent dans le même râle, à explorer les parties intimes de leurs corps, à se reluquer dans des positions lascives très excitantes, à jouer à se posséder, à se dominer voire même à se donner des coups quand la simple étreinte ne suffit pas.

 

 


Outre l’écart d’âge entre les personnages, décapitant au passage le fantasme de la petite lycéenne asiatique, c’est surtout la grande question du sadomasochisme qui pose problème. D’autant que le réalisateur aurait facilement pu tomber dans les pires travers du genre arty. Grosso modo, la théorie vaseuse qui serait aussi passionnante qu’une bonne dissertation sur la loi et la pulsion. Réjouissons-nous : Jang Sun-woo préfère laisser parler les corps, les envies, les sentiments et balancent aux orties les affinités électives. Si les deux protagonistes s’amusent (et nous avec) à se balancer des insanités dans le creux de l’oreille (le genre de choses que seuls les vrais amoureux peuvent faire, sans avoir peur de rien ni même du ridicule) ou à faire des pique-niques improvisés où les discussions ne tournent pas forcément autour de la bagatelle, Fantasmes raconte avant tout une quête doloriste du plaisir à travers donc la souffrance et surtout une reconnaissance de soi à travers les sens. L’utilisation de la DV qui a priori ne donne pas toujours des effets remarquables est ici totalement judicieuse pour coller à l’intimité des deux amants confinés dans leur nid d’alcôve. Loin des autres mais proches de nous. Et ces scènes de sexe sont longues, silencieuses, belles, charnues, sans complexe ni tralala.

 

 

 

 

Dans son savant mélange de réalité et de fiction (interventions des comédiens qui donnent l’impression de passer un casting), Jang Sun-woo cherche la proximité mais surtout une réflexion sur ce qui est montrable au cinéma ou pas (vraie frontière entre l'érotisme et la pornographie). Il avait déjà fait ça dans Timeless, Bottomless, Bad Movie, son précédent long, dans lequel la jeunesse de Séoul passait devant sa caméra, créant ainsi une dimension documentaire, convoquant par ailleurs toute sorte de médiums (publicité, reportage). Le bordel formel de Fantasmes et ses brusques interruptions dans le récit proviennent de ces facéties passées. Chez nos amoureux é(perdus), la sexualité s’épanouit dans la litanie des jours et les jeux de plus en plus coquins. L’amour naît dans l’égoïsme et la provocation (discussion franche dans un taxi ou le métro). Leurs corps respectifs n’appartiennent qu’à eux deux si bien qu’ils finissent par se ressembler physiquement (sempiternel mythe de l’androgynie).

 

 

 

 

En terme de cinéma, l’esprit cogite sans crier gare. Réalisateur d’un très médiocre Resurrection of the Little Matchgirl, sur lequel on ne s’étendra pas, Jang Sun-woo, ici en pleine possession de ses moyens, multiplie les contrepoints binaires (sexe et amour, soumission et domination, frivolité et gravité) et s’en sort plus que bien. La preuve avec ses images en demi-teintes (c’est à la fois drôle – quand la copine de la jeune fille découvre les marques sur les fesses de sa camarade et se rend compte qu’il est possible de faire l’amour de différentes façons – et tristes – quand la demoiselle cheveux coupés bat pour la dernière fois un monsieur mélancolique) et son utilisation audacieuse d’une bande-son très techno-eurodance immature comme désynchronisée. Connaissant le passé du réalisateur, on ne s’étonnera pas de ces mélanges fructueux, le bonhomme ayant déjà fait ses preuves dans un film au sujet quasi-similaire (L’amour à Umukbaemi) sans toutefois oser pousser le bouchon aussi loin dans la représentation sexuelle sans fards ni tabous. En creux, le film dit deux trois choses vraies sur le couple qu'il soit éphémère ou non (rapports de force souterrains, jalousie qui contamine même les couples les plus open, attente fébrile provoquée par l'absence de l'autre). Les scènes les plus anodines rendent compte de l’obsession qui contamine les personnages au corps et au cœur. Dans leur vie comme dans le film, il ne sera question que de ça et de rien d’autre.

 

 

 

 


Les éléments périphériques comme les apparitions du grand frère inquiet n’ont qu’une incidence (parfois tragiques) sur les événements, démontrant la puissance d’une liaison exclusive, dangereuse, aveugle, sacrée et égoïste. Poussons le vice : le vrai discours peut être lu en filigrane étant donné que le sexe est mis au même niveau que le travail; et les fantasmes bureaucratiques (qui peuvent être ceux du spectateur) déchantent très vite. Sans chercher à mettre du I dans son Q, il suffit au réalisateur de varier la luminosité, de ralentir les images ou d’utiliser le flou pour retranscrire l’extase du sexe qui peut s’exprimer au lit comme en discothèque. Alors, Fantasmes, film de petit malin pour vieux obsédés? Heureusement, non. En reluquant les moindres soubresauts d’une histoire secrète, il y a non pas le malaise du voyeuriste mais un vrai émoi personnel et intérieur qui pointe au moment où on s’y attend le moins. A laquelle on accordait aucune importance au début (procédé pataud et télévisuel qui consiste à faire intervenir les personnages/acteurs face caméra) et qui, finalement, nous rattrape, nous touche de plein fouet. Le fantasme du titre est ce que nous transposons à l’écran et l’identification qu’il permet.

 

 

Mon commentaire

 

Film découverte de l'escalade des expériences du désir, sexe, amour et délire sans frontières!

Par Fernanda - Publié dans : DVD
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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 21:38

 claudette01.jpg

 

2008


La soixantaine pétillante et passionnée, Claudette est une prostituée fière de son métier. De nature hermaphrodite, elle a une vie de famille heureuse et assume avec panache son ambivalence. A l’âge de devenir courtisane retraitée, elle s’engage à visage découvert pour les droits des travailleuses et travailleurs du sexe, au risque d’exposer à ses proches la vérité sur son métier. En perçant le secret qui allume de bonheur le regard de cette singulière personnalité, ce portrait documentaire nous interroge sur l’identité de genre, la sexualité, l’amour et la liberté individuelle.

 

 

Mon commentaire

 

Terriblement humain, ouvert et d’un naturel extraordinaire, quelle leçon de vie !

Merci Claudette!!!

Par Fernanda - Publié dans : DVD
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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 21:23

  

 

 

EntreAdultes.jpg

 

Tourné en... 4 jours


Avant se lancer dans le tournage de Je ne suis pas là pour être aimé, Stéphane Brizé s'est vu proposer par la région Centre Val de Loire un projet pour le moins inattendu. Avec l'aide de comédiens professionnels –mais n'ayant pas d'expérience au cinéma-, le réalisateur devait écrire puis tourner un film en 10 jours avec deux caméras vidéos et un micro : "Les 6 premiers jours, histoire de faire connaissance, nous avons travaillé des scènes écrites pour l'occasion et les 4 jours suivants, nous avons tourné le film, raconte le réalisateur. C'est donc un long-métrage écrit en 10 jours, tourné en 4 jours et monté - puisque là non plus nous n'avions pas de temps - en 4 jours."


Liberté artistique quasi totale
"Je ne crois pas que le film aurait été mieux si j'avais eu 10 fois plus de temps pour le tourner, explique Stéphane Brizé. Comme certaines histoires d'amour dont on se souvient toute une vie et qui n'ont pourtant duré que très peu de temps, il y a eu une urgence sur ce projet. Et cette urgence a créé une énergie assez extraordinaire sur le plateau, une concentration maximale de la part de chacun, comédiens et techniciens. Sans doute un de mes meilleurs souvenirs de tournage tant la disponibilité de chacun était grande en même temps qu'il y avait une absence totale de pression. Pas d'argent, pas de souci du résultat, bref une liberté artistique quasi totale."
Finalement porté au cinéma
Achevé en août 2004, il n'a jamais été question de distribuer le film en salles. C'est le réalisateur Simon Lelouch, qui, après avoir visionné le film à la fin de l'année 2005, poussa Stéphane Brizé à le finaliser pour le cinéma. Il le montra ensuite à Claude Lelouch, fin connaisseur des relations homme femme, qui fut conquis par le film et qui accepta d'en assurer la production.


La touche Lelouch
Lorsque Claude Lelouch a reçu la cassette du film pour le visionner, il n'avait qu'un quart d'heure à lui consacrer. Mais le réalisateur a finalement été absorbé par le récit a vu tout le film : "Si j'aime ce film, c'est parce qu'il y a un fil invisible entre son travail et le mien. C'est du vrai cinéma d'auteur, comme il y en a de moins en moins actuellement. Car si le cinéma va de mieux en mieux, le cinéma d'auteur va de plus en plus mal.", explique le producteur.
A la limite de l'improvisation
Stéphane Brizé n'a laissé que très peu de temps à ces comédiens pour travailler les scènes. Au final, leur interprétation se rapproche souvent de l'improvisation. Un effet justement recherché par le réalisateur : "Ce qui m'intéresse avec les comédiens, c'est de capter la vie. Un silence, une hésitation... Une seconde de miracle en quelque sorte. En même temps, mon texte est très écrit et je sais parfaitement d'où je pars, où je vais et par où je passe. Mais ma prose n'a rien de sacrée et il s'agit au moment du tournage d'injecter la vie dans ce texte pour tenter d'obtenir un moment que j'espère à chaque fois rare. Alors je donne le scénario très tard et je ne demande pas de par coeur. Je demande juste de respecter précisément la structure de la scène sans chercher à broder. Puis nous nous lançons sans répétition. Et on voit ce qui se passe en acceptant de se laisser surprendre."


Bricolages amoureux
Le réalisateur et scénariste Stéphane Brizé évoque sa vision des relations de couples qu'il développe dans le film : "Mes personnages nous ressemblent et ils se débrouillent comme ils peuvent dans leur vie. Il faut être humble, une relation amoureuse, c'est à mes yeux, du bricolage au quotidien. Il peut arriver d'avoir des difficultés à exprimer ses sentiments, il peut arriver de se réveiller un matin et de ne plus aimer la personne qui est à ses côtés, il peut arriver de souffrir avec quelqu'un tout en étant dans l'incapacité de le quitter, il peut arriver de reproduire éternellement le même scénario et de mener chacune de ses histoires d'amour à l'échec, il peut arriver de ne pas être tous les jours fou d'amour pour la personne avec qui l'on vit, il peut arriver d'aimer une personne tout en en désirant parfois une autre, tout cela avec la petite dose de lâcheté suffisante pour s'arranger avec notre conscience. Il n'y a là rien de pessimiste, c'est juste la réalité. Ayons simplement l'honnêteté de l'accepter."

 

Mon commentaire


Concept très intéressant en tant que film car il se compose de petits extraits de rencontres de couples de très courte ou longue date. A chaque nouvelle histoire il y a un du couple d’avant qui est en relation avec quelqu’un d’autre.
Les conflits sont toujours présents à chaque histoire et les mauvais coups et là je me suis posé la question, ça existe les couples heureux ? et par la suite je me suis dis… mais des gens heureux on n’a rien a raconter… est-ce vrai ?
Mais bravo car il y a énormément de vérité dans ces scènes !
Regardez le et dites moi ce que vous en pensez !

 

Par Fernanda - Publié dans : DVD
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Dimanche 17 juin 7 17 /06 /Juin 11:12

chansons_pour_elles.png

résumé du livre

Pour exorciser le souvenir de ses amours avec Rimbaud, Verlaine se lance à corps perdu dans ces poèmes érotiques. Du bordel aux amours lesbiennes. des fêtes sensuelles aux plaisirs vécus comme des vices, le poète altèrne chansons gauloises et élans de désespoir, vers érotisme précis et rêveries amoureuses...

 

 

 

La sexualité de Verlaine, né en 1844 était ambiguë, tout comme il l’était lui-même. Il n’était probablement pas l’amant rêvé, car une violence destructrice sommeillait en lui.

Il n’était sans doute pas doué pour les sentiments, mais il avait un talent ineffable pour les mots.

Verlaine aimait la chair. Il a aimé un homme et quel homme... Rimbaud... Il a aimé des femmes, mélangé tous les genres.

A la lecture de  « Chansons pour elle » c’est peut-être tout le regret de ne pas avoir vécu une vie calme et paisible que l’on peut percevoir.

Ses poésies sont parfois émouvantes, parfois brusques, mais pleinement humaines. L’érotisme au bout de sa plume sublime l’art d’écrire des mots d’amour.

Parfois des termes enfantins surprennent pour dire les jeux sensuels.

Verlaine s’est laissé entraîner dans la déchéance par le sexe et l’alcool.

Il le dit lui-même : «  Ni flacons s’il vous plaît, ni sachets en amour ! Mais, ô qu’un air naïf et piquant flotte autour d’un corps, pourvu que l’art de m’exciter s’y trouve ; et mon désir chérit, et ma science approuve, dans la chair convoitée, à chaque nudité....... »

Lui qui aimait tant les corps termine son existence dans la solitude lamentable qui détruit toute vie et toute âme. La débauche dont il a suivi le chemin sans en dévier le conduit au tombeau en 1896, alors qu’il avait été élu Prince des Poètes.

En octobre 1893, Paule Verlaine écrit un avertissement aux lecteurs de ses œuvres : ce qu’il écrira dorénavant, il n’en sait trop rien encore. Peut-être enfin ! de l’impersonnel. Peut-être aussi qu’il continuera, par intervalles, à regarder en lui-même. Dans tous les cas, il travaillera jusqu’à ce que Dieu l’arrête.

Mais c’est bien ses propres penchants pour la luxure qu’il nous raconte avec talent, et érotisme.

Cela vous semble étrange de se pencher à nouveau sur une œuvre aussi ancienne ? Assurément non, car Verlaine est une valeur sûre.

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Par Christine - Publié dans : Livres
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Dimanche 17 juin 7 17 /06 /Juin 11:01

9782501053617.jpg    De Linda Lou Paget

 

Linda Lou Paget nous éclaire sur la manière de faire l’amour à un homme.

Et ce n’est pas inutile !!!

On croit que rien n’est plus simple, que tout est basique alors qu’il n’en est rien et que c’est exactement l’inverse. Il faut aller chercher dans son inspiration, dans son imagination pour faire du sexe un art.

Chacune de nous a envie d’être l’amante parfaite. Même si la perfection n’existe pas, il nous est possible de tenter de nous en approcher avec ce livre.

Linda Lou Paget nous donne une foule de techniques pour «  toucher » son amant, pour le masser, pour le surprendre par des jeux.

Elle nous décrit les gestes, nous pointe les endroits stratégiques à flatter.

De quoi réveiller les plus anciennes routines.

Elle nous enseigne comment rendre fou de plaisir celui que l’on aime, avec des phrases claires soutenues par des dessins. Truffant ses chapitres de secrets d’alcôve.

C’est un livre que nous devrions toutes avoir sous la main afin de le consulter de temps à autre. Il nous est toujours possible de progresser de réinventer les joies du corps. Même si le sexe existe depuis la nuit des temps, même si nous le pratiquons depuis des années, nous ne savons pas tout. Et non, il n’est pas basique.

Il est joyeux, vivant, épanouissant, heureux. Et n’a rien à voir avec une habitude animale à laquelle la femme doit de se soumettre passivement.

En lisant ce livre, nous reprenons le pouvoir dans notre sexualité.

Linda Lou Paget collabore aux mensuels Cosmopolitain et Glamour en y abordant les secrets du couple. Elle est aussi l’auteur de faire l’amour à une femme. Tiens ! pourquoi pas ne pas envisager d’offrir cet ouvrage à son compagnon... Elle anime également des séminaires aux Etats-Unis.

A la lecture de ce livre, je n’avais qu’une seule envie, mettre en pratique ce que je venais de réapprendre ou de découvrir...

 

Par Christine - Publié dans : Livres
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